Quatrième de couverture «On entend un peu partout que la généralisation du courrier électronique marque la renaissance de la pratique épistolaire, réputée disparue depuis un certain temps. C’est doublement faux. La lettre, cette forme vieille de plusieurs siècles, n’est jamais morte : malgré le télégraphe, le téléphone et le télécopieur, on n’a pas cessé d’écrire des lettres, de les mettre dans des enveloppes, de les confier à la poste, de les conserver et de les caresser. Il y a mieux : la lettre ne peut pas être remplacée par le courrier électronique, car elle a des ressources qu’aucune autre forme d’écriture ne partage. Avec un ordinateur, on peut faire toutes sortes de choses; on ne peut pas envoyer une lettre.» Benoît Melançon est professeur de littérature à l’Université de Montréal. Il est l’auteur de Diderot épistolier. Contribution à une poétique de la lettre familière au XVIIIe siècle et il se sert du courrier électronique tous les jours.
Comptes rendus Le Droit, 2 novembre 1996, p. A16 (Jean-Claude Surprenant) : «Un point de vue intéressant sur un sujet actuel.» Émission Midi-Culture, Société Radio-Canada, 27 janvier 1997 (Richard Cummings) Québec français, 106, été 1997, p. 7-8 (René Audet) «Cyber-C@hier», supplément multimédia de la Libre Belgique, 27 septembre 1997 (Thierry Bonckaert) Best of Mac News (Belgique), 34, octobre 1997, p. 16 (Benoît Lips) Éduquer au Vieux (Cégep du Vieux Montréal), 4, 1, novembre 1997, p. 3 Bulletin de l’AIRE (Association interdisciplinaire de recherche sur l’épistolaire, Paris), 20, novembre-décembre 1997, p. 28-29 (Michel Lacroix) : «Désormais quiconque s’interrogera sur le courrier électronique devra commencer par lire Sevigne@Internet.» «Votre “Sévigné@Internet” est excellent, et génialement médiologique» (Régis Debray, 1999). Arob@se : journal des lettres & sciences humaines, 3, 2, été 1999 (Guillaume Lesourd) : «L’auteur aime à faire sourire et il émaille son discours de subtiles références à son expérience personnelle. Le raisonnement de Melançon est ferme, mais ouvert, ne serait-ce que parce qu’il est bref : il invite à une réflexion plus ample, et a le mérite incontestable d’exposer en quelques pages des principes théoriques qui, sans équivoque, doivent orienter toute critique épistolaire.» Lire (Paris), 279, octobre 1999, p. 28 (Myriam Boutoulle) : «Remarquable.» L’Humanité (Paris), 24 janvier 2000, p. 20-21 (Jacques Moran) Lire (Paris), 284, avril 2000, p. 53-55 (Marie Gobin) : «Judicieux.» Site de Radio-France internationale, 21 août 2000 (Myriam Berber) : «Original.» La Vie, 2921, 23 au 29 août 2001, p. 17-18 (Pascal Paillardet)
Entrevues écrites Chayet, Stéphanie, «Courrier électronique. La revanche de l’écrit», le Point (Paris, France), 1339, 16 mai 1998, p. 92-96 Clavel, Émilie, «Li@isons d@ngereuses. L’art épistolaire, toujours à la page», Montréal campus (Université du Québec à Montréal), novembre 2010 Levisalles, Natalie, «Spécialiste de la correspondance du XVIIIe siècle, le Québécois Benoît Melançon invente une analyse littéraire du courrier électronique. Quelle différence avec la lettre ? Le fétichisme», Libération (Paris, France), cahier Multimédia, 15 janvier 1999, p. II-III : «Très stimulant essai.» Louis, François, «L’étrange langue du courriel. L’utilisation du courrier électronique modifie le style», le Soir (Bruxelles, Belgique), cahier le Soir 2000, 29, 20-21 juillet 1999, p. 2 Sauvé, Mathieu-Robert, «La lettre dans tous ses états. Benoît Melançon étudie le genre épistolaire, du Moyen Âge au courrier électronique», Forum, 31, 19, 3 février 1997, p. 6 Commandes Éditions Fides |
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