Galina L. Gorborukova, Ph.D. (Post-Doctorat)

Mes intérêts de recherche se situent dans plusieurs domaines et disciplines. Je travaille au Kirghizistan, où j'explore comment l'effondrement du socialisme d'État a simultanément ébranlé les communautés déjà existantes, et précipité l'émergence de nouveaux. J'étudie aussi comment les individus agissent en tant qu'agents de leurs propres identités, en retraçant la façon dont les traumatismes expérimentés ou imaginés créent ou influencent les identités postsocialistes ainsi que leurs significations. Je suis également intéressée à comprendre les mécanismes sous-jacents des changements d'identité culturelle et la manière dont les représentations culturelles émergent à l'intersection de l'appartenance ethnique.

Mathieu Pelletier (Doctorat)

Présentement, je m'intéresse aux liens entre les changements sociaux dramatiques et la clarté de l'identité culturelle. Il a été théorisé qu'un changement social dramatique amenait une diminution de la clarté de l'identité culturelle, or ce lien n'a pas encore été testé empiriquement. Lors de mes études doctorales, je tenterai de déterminer quelles variables peuvent expliquer le lien entre les changements sociaux dramatiques et la clarté de l'identité culturelle.

Mélissa Stawski (Doctorat)

Je m’intéresse aux perceptions de soi lors de travail en groupe, spécifiquement, dans une organisation. Notre identité, qui consiste en la manière l’on se définit, est construit à partir de notre environnement social (Erikson, 1980;Turner, Oakes, Haslam, & McGarthy, 1994). Le travail étant l’un des environnements sociaux les plus importants de l’âge adulte, il est attendu qu’il ait des répercussions importants sur l’identité des travailleurs. Dans le cadre de ma thèse de doctorat, j’examinerai l’effet de différentes caractéristiques du travail en groupe  sur l’identité des travailleurs.

Diana Cardenas (Doctorat)

Je m'intéresse au processus d'intégration identitaire dans le cadre de l’immigration. Plus particulièrement, je veux comprendre comment les gens viennent à avoir un concept de soi cohérent lorsqu'ils sont confrontés à des identités qui sont différentes.  Je m’intéresse aussi à comprendre les conséquences de l’intégration des identités dans les préjugés et conflits intergroupes. 

Laura French Bourgeois (Doctorat)

Chaque groupe possède ses valeurs, mais les comportements des membres du groupe ne correspondent pas nécessairement toujours au respect de ces valeurs. Une question découle de cette problématique: comment aligner les comportements des individus avec les valeurs auxquelles ils croient? Dans le cadre de mon doctorat, je m’intéresse à faire ressortir les différents facteurs qui favorisent les individus à changer leurs comportements afin que ceux-ci soient conformés aux valeurs de leur groupe. Plus précisément,  je me base sur la Théorie du comportement normatif qui est à la base de plusieurs recherches qui appliquent les normes sociales comme mode d’intervention dans le changement des comportements.

Sarah Gaham (Assistante technique de recherche, 2014)

Je travaille en collaboration avec d'autres élèves du laboratoire dans le but d'établir une définition psychologique du changement social afin de mieux comprendre ses caractéristiques ainsi que son impact sur les individus et les groupes. L'étude des changements sociaux étant souvent négligée en psychologie sociale, il est important de ramener ce sujet au centre de ce domaine de recherche afin de mieux comprendre les défis auxquels de millions d'individus à travers le monde font face. Présentement, je suis plus particulièrement intéressée à la manière dont les gens font face et s'adaptent à une menace collective, et l'impact de cette menace sur leur identité sociale et leur bien-être. Je suis également impliquée au sein de l'équipe éditoriale du Journal sur l'identité, les relations interpersonnelles et les relations intergroupes (JIRIRI) depuis deux ans, maintenant à titre de Chef d'édition pour le volume sept. 

Amélie Privé (Stage de recherche, 2013)

Amélie est présentement inscrite à l'Université d'Ottawa en biochimie.

Elodie Roebroeck (Stage de recherche, 2013)

Fabrice Pinard Saint-Pierre, M.Sc.
(Maîtrise)

Fabrice travaille à la TELUQ tout en poursuivant sa carrière d'écrivain.

Esther Usborne, Ph.D. (Post-doctorat, 2011)

Esther travaille maintenant pour le Gouvernement du Canada.

Émilie Auger (Maîtrise, 2011)

Émilie fait présentement son doctorat avec John Lydon à l'Université McGill.

Marie-Claire Sancho (Maîtrise, 2011)

Marie-Claire est maintenant professeur en psychologie au Collège/Cégep Ahunstic.

Marie-Elaine Huberdeau (Maîtrise, 2010)

Marie-Élaine est décédée en juillet 2013. Au court  de sa maîtrise elle nous a éblouis par son énergie et  ses habiletés d’enseignement.  Par sa recherche elle nous a aussi démontré que les idées peuvent réellement changer le monde. 

Anne Gendreau (Stage de recherche, 2010)

Régine Debrosse (Honor, 2009)

Aujourd'hui, Régine fait son doctorat en psychologie sociale avec Donald Taylor de l'Université McGill.

Raphaël Gani (Stage de recherche, 2009)

Raphaël termine maintenant sa maîtrise en histoire, supervisée par Jocelyn Létourneau.

Cristina Perozzo (Maîtrise, 2008)

Cristina termine à présent son doctorat en psychologie recherche/intervention à l'Université Laval.

Joëlle Carpentier (Honor, 2008)

Joelle fait actuellement son doctorat à l'Université de Montréal avec Geneviève Mageau.

Simon Coulombe (Honor, 2008)

Pour faire partie de l'équipe, il faut être passionné du monde des idées théoriques et de la recherche en psychologie sociale. Il faut s'intéresser aux questions qui touchent l'identité, les changements sociaux, le bien-être, la discrimination, le racisme, le choc culturel. Bref, toutes des questions qui ont une importance sociale et qui touchent, la plupart du temps, les populations les plus désavantagées.

Ce sont les idées qui changent le monde!

Pour ce qui est des études aux cycles supérieurs...

Je préfère travailler avec des étudiants en recherche qui commencent d'abord par la maîtrise. La maîtrise permet à mon avis de développer et de mettre à terme un projet de recherche concret (la maîtrise) et de soumettre sans délai un article scientifique dans une revue avec comité de lecture.

Je prends des étudiant(e)s au programme recherche/intervention. L'intérêt pour la recherche doit être très fort. Je m'attends à ce que la contribution théorique de la thèse de doctorat soit aussi importante qu'un doctorat en recherche. Je suis aussi ouverte aux étudiants qui désirent faire un D. Psy. et qui s'intéressent à mes thèmes de recherche.