La maîtrise La maîtrise. Wow ! Tout un jardin à explorer avec un excellent guide. Imaginez ! Plus de deux années à réfléchir sur une question apparemment toute simple : Pour les entreprises qui se fusionnent, quelle est la différence entre l’intégration qu’on veut faire et celle qui se fait ? La réponse. Un passeport à vie pour explorer les problématiques que pose la communication entre les directions d’entreprises en relation avec leurs groupes d’employés. Les besoins à satisfaire à ce niveau sont considérables. Cheminement de carrière depuis Début comme pigiste avec l’intention de faire beaucoup de millage avec les cas de fusions et acquisitions. Je quitte l’université avec un gros bagage de connaissances et un peu d’expérience professionnelle acquise durant la maîtrise. Dans le marché, je découvre que la marche est un peu haute mais je suis quand même bien équipé avec ma maîtrise et mes premières expériences. J’ai donc décidé de joindre une grande société conseil qui m’a offert un encadrement exceptionnel et l’accès à des mandats intéressants. Spécialités L’équation contribution rétribution, ça vous dit quelque chose ? Ça se trouve au cœur de la relation employeur/employé. Je parle donc de communication touchant la gestion des ressources humaines et plus précisément les dimensions de la rémunération globale d’un individu (salaire, bonis, avantages sociaux, régime de retraite, régime d’actionnariat, régime d’intéressement, gestion du rendement, gestion du changement, etc.). Dans ce grand jardin, on trouve des choses bien complexes qui méritent pourtant d’être bien comprises. Des enjeux substantiels comme la satisfaction des employés, les effets sur leur motivation, leur degré d’engagement et, dans une certaine mesure, le succès de l’organisation. Sommaire du mémoire Le phénomène de l'intégration dans les cas de fusions et acquisitions (F/A) d'entreprises fait l'objet d'une réflexion qui laisse plusieurs questions sans réponse. À ce jour, la majorité des études dans ce domaine cherchent des réponses à la question «comment faire l'intégration?». Cette démarche est centrée sur la recherche et l'évaluation des mécanismes d'intégration que les décideurs peuvent utiliser afin de mieux contrôler la réalisation de leurs objectifs. Notre projet de mémoire se veut plutôt une recherche exploratoire du «comment l'intégration se fait?» de manière informelle entre les différents individus engagés dans une F/A. Ainsi, notre étude de cas menée dans une entreprise de services professionnels met en rapport l'intégration planifiée par les dirigeants (ce qu'ils veulent faire) et l'intégration vécue par les acteurs de l'organisation (employés, gestionnaires ou dirigeants). Nous envisageons l'intégration vécue en tant que processus émergent qui échappe en partie au contrôle des dirigeants en raison des diverses interprétations que les individus font des transformations de leur environnement.
Allen,
E. (1988). Roundtable: Weaving Communications Into the Acquisition
Process, Mergers & Acquisitions. (July/August), pp.24-35. Bastien, D. T. (1992). Change in Organizational Culture, The use of Linguistic Methods in a Corporate Acquisitions, Management Communication Quarterly, (4), pp.403-442. Berg, D. N. (1990). A Case in Print, The Journal of Applied Behavioral Science, (1), pp.65-68. Blake,
R. R., & Mouton, J., S. (1984-85). How to Achieve Integration
on the Human Side of the Merger, Organizational Dynamics, 13, (3),
pp.4l-56. Cartwright, S., & Cooper, C. L. (1993). The Role of Culture Compatibility in Successful Organizational Marriage, Academy of Management Executive, 7, (2), pp.5770. Coulon,
A. (1990). L'ethnométhodologie, Paris: Presses Universitaires
de France, coll. Que sais-je?, No.2393. 127 p. Crozier, M., & Friedberg, E. (1977). L'acteur et le système, Paris: Éditions du Seuil, coll. Points, No.Po111. 444 p. Daft, R. L., & Lengel, R. H. (1984). Information Richness: A New Approach to Managerial Behavior and Organization Design, Research in Organizational Behavior, 6, pp.19l-233. Davy,
J. A., Kinicki, A., Kilroy, J., & Scheck, C. (1988). After the
Merger: Dealing With People's Uncertainty, Training and Development
Journal. (November), pp.57-6l. Fairfield, K. D. (1992). 10 Myths of Managing a Merger, Across the Board, (May), pp.13-l5. Gall,
E. A. (1991). Strategies for Merger Success, The Journal of Business
Strategy. (March/April), pp.26-29. Gosselin, A. (1987). Les contraintes à l'intégration des entreprises après une fusion ou une acquisition: comment 1 et 1 peuvent donner simultanément 1 et 3, Gestion, 12 (septembre), pp.67-74. Gosselin,
A. (1989). Les acteurs d'une fusion ou d'une prise de pouvoir. In
Bélanger et al. (Ed.), Acquisition ou Fusion d'entreprises
et emplois (pp. 156-164). Québec: Les Presses de l'Université
Laval. pp.156-164 Haspeslagh, P. C., & Jemison,
D. B. (1991). Managing Acquisitions: Creating Value Through Corporate
Renewal, New-York: Free Press. Isabella, L. A. (1990). Evolving Interpretations as a Change Unfolds: How Managers Construe Key Organizational Events, Academy of Management Journal, (1), pp.7-41. Ivancevich, J. W., Schweiger, D. M., & Power, F. R. (1987). Strategies for Managing Human Resources During Mergers and Acquisitions, Human Resource Planning, 10, (1), pp.19-35. Jaeger,
A. M. (1987). La culture organisationnelle: un élément
à ne pas oublier dans les acquisitions et fusions, Gestion,
12 (septembre), pp.59-66. Jemison,
D. B., & Sitkin, S. B. (1986). Corporate Acquisition: A Process
Perspective, Academy of Management Review, l1 (1), pp.145-163. Kelly, J. F. J. (1989). Talk Eased Merger Stress for Great American Employees, Personnel Joumal, (October), pp.pp. 77-85. Langlois, G. (1987). Planification et stratégie d'acquisition, Gestion, 13, (4), pp.51-55. Le Bel, G. (1990). Qu'arrive-t-il
aux gestionnaires fusionnés? (document de travail non publié
No. HEC. LeCompte, M., & Goetz, J. P. (1982). Problems of Reliability and Validity in Ethnographic Research, Review of Educational Research, 52, ((1) Spring), pp.31-60. Lipiansky,
E.-M. (1993). L'identité dans la communication, Communication
et langages, 97, pp.31-37. Marks,
M. L. (1991). Combatting Merger Shock Before the Deal Is Closed,
Mergers & Acquisitions. (January/February), pp.42-48. Marks,
M. L., & Mirvis, P. (1985). Merger Syndrome: Stress and Uncertainty,
Mergers & Acquisitions. (Summer), pp.50-55. Marks,
M. L., & Mirvis, P. (1992). Rebuilding After the Merger: Dealing
with "Survivor Sickness", Organizational Dynamics, 21,
(2, Autumn), pp.18-32. Perry,
L. T. (1986). Merging Successfully : Sending the "Right"
SignaIs, Sloan Management Review. (Printemps), pp.47-57. Reynaud,
J.-D. (1988). Les régulations dans les organisations: régulation
de contrôle et régulation autonome, Revue française
de sociologie, XXIX. , pp.5-18. Rosen, M. (1985). Breakfast at Spiro's: Dramaturgy and Dominance, Journal of Management, 11 (2), pp.31-48. Sales, A. L., & Mirvis, P. H.
(1984). When cultures collide : Issues in acquisition. In Kimberly
et Quin (Ed.), New-Futures: The Challenge of Managing Corporate
Transitions (pp. 107-133). Homewood: Dow Jones-Irwin. pp.107-133 Schweiger, D. M., & Ivancevich, J. M. (1987). The Effects of Mergers and Acquisitions on Organizations and Human Resources: A Contingency View. ln The Seventh Annual Strategic Management Society Conference. octobre, Boston. Schweiger, D. M., Ivancevich, J. M., & Power, F. R. (1987). Executive Actions for Managing Human Resources Before and After Acquisition, Academy of Management Executive, 1 (2, mai), pp.127-138. Siehl, C., Ledford, G., Silverman, R., & Fay, P. (1988). Preventing Culture Clashes From Botching a Merger, Mergers & Acquisitions. (Mars/avril), pp.51-57. Sinetar,
M. (1981). Mergers, Morale and Productivity, Personnel Journal.
(november), pp.863-867. Taylor,
J. R., & Giroux, N. (1993). The Rhetoric of Management Conversation
and Text, Département de communication. Université
de Montréal. 24p.. . Watzlawick, P. (1978). La réalité de la réalité, Paris: Éditions du Seuil, coll. «Points», . 240 p. Watzlawick,
P., Helmick, Beavin, J., & Jackson, D. D. (1972). Une logique
de la communication, Paris: Editions du Seuil, coll. «Points»,
No.102. 287 p. |
|||||
|
|
